vendredi 21 septembre 2007

Le bonheur est sous la couette... ?

Ouahou, la philo à deux balles d'hier, c'est uniquement pour cause de fatigue de fin de semaine hein !

Enfin, j'espère.


J'ai entendu un truc plutôt intéressant et bien vu (à mon humble avis) à la radio cet apres-m. Une théorie sur la différence sexuelle fondamentale entre l'homme et la femme, mise en évidence au bout de quelques années de vie commune et la conception d'enfants.

Au début, c'est le big love, et le sexe est pour tous deux le seul moyen pour chacun de se fabriquer sa propre ocytocine cérébrale, hormone du plaisir et du bien-être.

Puis vient l'enfant.

Pour monsieur, cela ne change pas grand chose : seul le sexe peut toujours lui fournir sa dose d'ocytocine. Pour madame c'est très différent. S'occuper de ses enfants, même grands, même uniquement après l'école, lui procure aussi cette hormone de plaisir, ce qu'il fait que le soir, au moment de se coucher, elle est déjà saturée. Ainsi quand son mâle tente une approche coquine sous la couette, elle a plus tendance à l'envoyer paître de l'herbe qu'auparavant. Incompréhension mutuelle.

Le savantissime scientifique auteur de cette (fumeuse?) théorie a eu recours à une métaphore... euh... culinaire. Tout se passe comme si (expression fétiche des profs de sciences) vous alliez au restaurant, preniez l'entrée avec foie gras, le plat avec frites, le fromage, le dessert au choco fondant et le café, et qu'en sortant de là votre dulciné vous proposait d'aller manger un hamburger.

De là à dire que le sexe après les enfants, ça donne la gerbe, il n'y a qu'un pas que je ne franchirai certainement pas.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

plutot bien vu l'exemple ^^.en tous cas c'est effrayant ! et plus on a d'enfants plus madame ne voudra plus faire zizi panpan ? mon dieu ... faites des gosse qu'ils disaient ...

zlie a dit…

OHHHH il me l'a faudrait vraiment mais d'ou ca vient? ou tu l'as acheté? dis nous ca bien vite
bonne continuation